3 points sur la litière

Les modalités de l’élevage des porcs sur litière varient suivant les types d’ateliers et leur taille, la forme de la litière utilisée et sa gestion, et les modes de valorisation des porcs.

  • Les ateliers sur litière

    Tous les ateliers porcins peuvent être envisagés sur litière : Truies gestantes, maternité, post-sevrage et engraissement. Certains éleveurs choisissent de n’élever qu’une partie de leurs animaux sur litière (par atelier, ou encore par sexe ou suivant le stade de croissance) ; ainsi, plusieurs modes d’élevage (en bâtiment sur sur litière ou sur caillebotis ou plein-air) cohabitent sur certaines exploitations.
    On trouve des exploitations taille diverses (de moins de 50 à plus de 3000 porcs) et des organisations par atelier variées. Les possibilités d’aménagement sont donc très nombreuses: les visites d’élevages préalables à une installation permettent d’avoir un aperçu des options qu’il est possible de mettre en place.
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  • Le type de litière

    Sciure ou paille ? Balles rondes ou carrées ? Paille d’orge ou de blé ? Un mélange ou une litière unique ? Litière accumulée ou raclée ? Biomaîtrisée ou non ? L’offre en matière de litière est vaste : le mode d’approvisionnement de l’élevage et les caractéristiques des ateliers envisagés sur litière déterminent sa gestion et les aménagements nécessaires des bâtiments.
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  • La valorisation des porcs

    De très nombreuses formes de valorisation des animaux engraissés sur litière existent, voire cohabitent, dans les élevages. Vente directe ou implication dans une filière locale, vente sous signe officiel de qualité ou label biologique, regroupement d’éleveurs ou vente individuelle, fourniture de collectivités ou d’artisans bouchers, les débouchés sont multiples !
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